J’ai été surpris d’apprendre que j’étais un donateur de la Faculté de pharmacie depuis 1983. C’est donc cinq ans après avoir reçu mon diplôme de pharmacie de l’Université Laval que mon geste philanthropique a débuté. Cela allait de soi. J’avais un fort sentiment d’appartenance à ma faculté. Faire un don constitue un moyen tangible de manifester cet attachement.
Au tout début, le don n’était pas élevé, presque symbolique. En début de carrière, l’équilibre entre les revenus et les charges financières est plus fragile. Plus tard, c’est différent. Le don se fait alors plus important.
Peu importe le montant, donner à sa faculté est un geste simple qui a de la portée. Il lui donne des moyens indispensables pour se développer et continuer à être une grande faculté. La nôtre.
Jean-Pierre Grégoire
Professeur titulaire
Faculté de pharmacie
Membre du Cercle de la Faculté